[alerte] - JM Bérard - 2 octobre 2016

Sommaire

Orthographe

Partager l'avenir tout proche

Informatique, société du numérique, codage, algorithmes, traitement de l'information.

Apprendre les algorithmes et le codage à l'école

Attestation scolaire des compétences numériques à l'école et au collège

Le contrat Microsoft

Un exemple jubilatoire

Avenir de la planète et élection présidentielle

Protéger ses libertés lorsqu'on utilise internet

Orthographe, encore

Rectifier son orthographe d’enseignant

À propos de [alerte]

Le nuage de [alerte]

Fonctionnement de la lettre [alerte]

Fin

 

 

 

Orthographe

Cette lettre [alerte] est écrite dans l’orthographe recommandée 1990 en suivant (sauf oubli !) les conseils de correction du dictionnaire électronique Robert.

http ://www.orthographe-recommandee.info/index.htm

Partager l'avenir tout proche

La salle Le Triton aux Lilas reprend les enregistrements en public mensuels de la séquence « Le pont des artistes » animée par Isabelle Dordhain. Cette séquence est diffusée ensuite sur la télévision Web du Triton. Par exemple le 17 novembre 2016 Clarika, Constance Amiot, Katel et le 22 décembre 2016 Jeanne Cherhal, Piers Faccini, Yelli Yelli.

http://www.letriton.com/

Non ce n'est pas loin de Paris : 11 minutes du Châtelet. Bon, d'accord, c'est loin de Saint-Jean-de-Maurienne.

Informatique, société du numérique, codage, algorithmes, traitement de l'information…

Tous ces termes, dont on ne connait pas toujours clairement le sens, emplissent l'actualité à propos de débats et de décisions de grande importance concernant en particulier l'éducation nationale.

Apprendre les algorithmes et le codage à l'école

Une chose est d'apprendre à utiliser de façon rationnelle et citoyenne un ordinateur. Jusqu'à maintenant c'était le rôle du B2i, brevet informatique et internet, prochainement remplacé par l'attestation scolaire des compétences numériques. Autre chose est d'apprendre à programmer l'ordinateur, à lui donner les instructions qui le conduiront à accomplir la tâche qu'on lui assigne. Il faut pour cela définir avec précision la tâche, la décomposer en étapes élémentaires, indiquer comment ces étapes doivent s’enchainer et traduire tout cela en un code que la machine pourra exécuter. Il s'agit en fait d'une science nouvelle, que l'on considère souvent comme née avec les travaux de Turing en 1936, et qui a connu depuis des développements considérables. Il s'agit bien d'une science, pas de l'apprentissage d'un usage compétent de la machine en utilisant en expert les ctrl C ctrl V.

Avec le développement massif des usages du numérique, faut-il enseigner aux élèves non seulement la façon d'utiliser les ordinateurs mais aussi la façon de les programmer, la façon de traiter l'information ?

La question faisait débat pratiquement depuis les années quatre-vingt. Elle est maintenant tranchée. Cet enseignement débutera dès l'école maternelle et se poursuivra au collège et au lycée.

Je vous indique à titre d'information la parution d'un ouvrage rédigé par des spécialistes de la science informatique pour les enseignants. « 1,2,3 codez, enseigner l'informatique à l'école et au collège » éditions du Pommier. On trouve facilement sur un moteur de recherche comment le commander. La revue en ligne « Le café pédagogique » le présente ainsi :

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2016/06/03062016Article636005337950833622.aspx

Ouvrage fort utile pour les enseignants, qui n'ont pas reçu de formation : on y présente les principes de la science informatique mais aussi des séquences clé en main, pour amorcer la machine. Ouvrage intéressant pour vous qui n'êtes pas enseignant. Une entrée rigoureuse et accessible dans la science informatique.

Cette question a occupé mon espace professionnel pendant de nombreuses années. Inutile maintenant de revenir sur les débats auxquels j'ai pris part. Je m'interroge tout de même un peu sur le calendrier choisi : on met en place à tous les niveaux l'enseignement d'une discipline totalement nouvelle, inconnue de presque tous, sans avoir formé les enseignants. Mais bon, ce sont des questions auxquelles se heurte constamment le système éducatif : si l'on attend d'avoir rempli toutes les conditions… Il faut peut-être savoir parfois forcer un peu le passage. Cela risque-t-il d'amoindrir la portée de cette réforme ambitieuse sur le plan intellectuel ? On verra bien.

Je suis également très perplexe face à la façon dont se prennent les décisions concernant les contenus des enseignements. Tout est structuré de façon rigide en disciplines, chaque discipline a ses associations, ses spécialistes universitaires, ses groupes de pression, ses lobbys. On ne consacre pas assez de temps aux activités artistiques, à l'enseignement du fait religieux, à l'histoire, à l'informatique, à la philosophie dès la maternelle (je ne plaisante pas, il existe des expérimentations très sérieuses à ce sujet), à l'allemand, au latin, aux sciences à l'école primaire… On a ajouté l'informatique, qu'a-t-on enlevé ? L'inspection générale faisait les programmes, il y a maintenant des conseils, des comités, des groupes d'experts, une concertation avec les enseignants. Mais bon, au final, c'est trop souvent en fonction d'équilibres politiques, idéologiques ou corporatifs que se décident les choses : que faut-il enseigner, que faut-il apprendre à l'école, en dehors de l'école, après l'école tout au cours de la vie ? Je sais, je rêve d'un mythe inexistant : une société où l'on pourrait définir de façon totalement rationnelle ce que l'on apprend à l'école. Cela n'existe pas, ce serait peut-être même un peu totalitaire. Cela dit, je suis terrifié par tous les programmes politiques (si si il y en a, regardez bien) dont la visée est la suppression de facto ou de jure d'un système éducatif national structuré.

Attestation scolaire des compétences numériques à l'école et au collège

Les textes mettant en place l'attestation scolaire des compétences numériques à l'école et au collège sont, comme on dit dans le jargon, dans les tuyaux : approbation par les instances compétentes, rédaction finale, signature…

J'en reparlerai lorsque les textes seront sortis, et je me fonde pour l'instant sur les informations, largement diffusées, dont j'ai pu avoir connaissance.

Il était nécessaire de faire évoluer les textes existants : meilleure cohérence avec les orientations européennes, meilleure « visibilité » dans l'ensemble des diplômes et attestations délivrées par l'éducation nationale.

Pour faire très court, cette attestation remplace le B2i, brevet informatique et internet qui était validé à l'école, au collège et au lycée. Ce B2i avait été mis en place par le ministre Claude Allègre et visait à donner aux élèves une attestation de compétences « répondant à la nécessité de dispenser à chaque futur citoyen la formation qui, à terme, lui permettra de faire une utilisation raisonnée des technologies de l'information et de la communication. Cette formation permet également de percevoir les possibilités et les limites des traitements informatisés, de faire preuve d'esprit critique face aux résultats de ces traitements. Elle donne aussi des moyens d'identifier les contraintes juridiques et sociales dans lesquelles s'inscrivent ces utilisations. » (Site du MEN.)

J'avais beaucoup apprécié à l'époque de faire partie des équipes qui avaient mis en place, puis fait vivre ce brevet. Après des difficultés initiales, et pour autant que je sache il me semble que ce brevet commençait à trouver sa place.

L'essentiel pour les équipes avec lesquelles je travaillais était certes que les élèves acquièrent des compétences pratiques minimales dans l'usage de l'ordinateur, mais surtout qu'ils acquièrent des compétences citoyennes sur les conséquences sociales du développement du numérique (à l'époque, essentiellement, fichage, respect de la vie privée, respect du droit d'auteur) et de former à des modes de raisonnement permettant d'exercer son esprit critique face à ce que l'on trouve sur internet, c’est-à-dire tout et le contraire de tout.

De nos jours, cet exercice de l'esprit critique devient capital, on le souligne quotidiennement. Comment contribuer à l'exercice d'un débat citoyen, dépister les rumeurs, fausses informations, théories complotistes ou extrémistes ?

D'où mon grand regret, mon incompréhension face au fait que l'apprentissage de l'exercice de l'esprit critique ait pratiquement disparu du nouveau texte. Je sais bien, c'est transversal, l'esprit critique doit s'exercer en permanence, s'appliquer à tous les médias, aux livres, discours… C'est une compétence fondamentale, il est du rôle de l'école de s'en préoccuper en permanence. Certes. Mais comment ? Est-ce vraiment dans la réalité de la classe une préoccupation fondamentale ? Il me semble que la question est tellement transparente dans les usages de l'internet que l'on avait là un moyen privilégié de l'aborder. Je ne suis pas naïf au point de penser qu'il suffit de l'aborder en classe pour résoudre la question et aboutir par exemple à ce que les collégiens soient moins sensibles à la propagande djihadiste. Mais si on ne s'y attache pas explicitement, on est sûr de n'aboutir à rien.

Le contrat Microsoft

La loi sur le numérique adoptée grâce au travail de la ministre Axelle Lemaire prévoit que chaque fois que cela est possible les administrations fassent appel à des logiciels libres (open source) plutôt qu'à des logiciels propriétaire.

Extrait d'un article de Delphine Bancaud 15 9 2016 : C’est en novembre 2015 que la rue de Grenelle a noué un accord avec Microsoft pour une période de dix-huit mois afin de développer le plan numérique à l’école. Il consiste en une mise à disposition de certains logiciels dans les établissements scolaires et la formation des enseignants au numérique par le géant de l’informatique. Et tout ça gratuitement, alors que ce partenariat représente un investissement total de 13 millions d’euros pour l’entreprise américaine.

Des associations ont porté plainte, et ont été déboutées par le tribunal de grande instance.

Sans même entrer dans les aspects juridiques (les règles des marchés publics ont-elles été respectées ?) je suis totalement scandalisé par le procédé. Microsoft se paie le luxe d'affirmer qu'ils agissent en mécènes et n'ont pas d'intérêt là-dedans. On aura habitué les enseignants et les élèves à utiliser des logiciels Microsoft, des formateurs Microsoft auront formé les enseignants. Comment peut-on espérer après cela que les élèves devenus adultes prennent leurs distances par rapport aux logiciels Microsoft ? On voit le mal qu'a chacun de nous à passer de l'usage du traitement de texte Word de Microsoft à l'usage de logiciels libres faisant pourtant la même chose tout aussi commodément ? Vive Axelle Lemaire et sa loi soutenant l'utilisation des logiciels libres dans les administrations.

Le mécénat de Microsoft ! Lorsque j'apprenais le latin, j'étais fasciné par l'affirmation « timeo danaos et dona ferentes » je crains mes ennemis surtout lorsqu’ils apportent des cadeaux. Allons allons, JM B, soyez raisonnable : Microsoft n'est pas un ennemi.

Un exemple jubilatoire

Reçu de l'un de vous, MH. Merci pour ce petit bijou.

Un article qui montre l’intérêt d’une culture scientifique et les dangers d’internet sans un minimum de réflexion et de connaissances. C’est aussi vrai dans les autres domaines. MH

http://culturesciences.chimie.ens.fr/content/le-monoxyde-de-dihydrogène-un-danger-méconnu

Bon, je vous facilite les choses et trahis le secret en reproduisant la conclusion de l'article. Cela vaut la peine de lire cet article remarquablement bien fait. On jubile, on se régale, on en voudrait plus. Là, nous sommes prévenus. Mais combien d'articles analogues avons-nous crus ?

Conclusion de l'article : il appartient à tout un chacun de rester vigilant, de ne surtout pas prendre pour vérité les informations données par les médias, les sites internet ou les revues scientifiques - aussi bien documentées qu’elles semblent être - et de garder un esprit très critique en toutes circonstances.

En effet, présenté de façon astucieuse, avec de nombreux termes scientifiques, une iconographie alarmante et une bibliographie conséquente, il serait assez aisé de faire passer pour dangereux n’importe quelle substance.

[Pour ne pas gâcher votre surprise j'enlève cette ligne qui donne la clé de l'énigme, vous la trouverez dans le texte à la fin du document. JM B]

Bon poisson d'avril de la part de l'équipe CultureSciences-Chimie.

Avenir de la planète et élection présidentielle

Les dangers sont multiples : pollution de l'air, réchauffement climatique, pollution des sols, de l'eau et des aliments, destruction des équilibres marins, fonte des glaciers et des banquises, montée du niveau de la mer, destruction de la biodiversité, déforestation, j'en oublie surement. Face à tous ces dangers, décrits de façon de plus en plus rigoureuse et convaincante, qui menacent la planète et en premier lieu les conditions de vie de l'humain sur terre, les politiques mises en œuvre au plan mondial semblent bien timides, tant la résistance des milieux qui vivent des modes actuels de production est forte. Sauf peut-être en Chine, où la destruction de l'air, de l'eau est si rude et spectaculaire que l'on n'a pas le choix.

Nicolas Sarkozy, cité par tous les médias, doute de la responsabilité humaine dans le changement climatique. Il estime que la première cause de dégradation de l'environnement est le nombre d'habitants sur la planète. Quelque chose m'échappe : d'une part, logiquement, dire que la première cause de dégradation est le nombre d'habitants, n'est-ce pas reconnaitre la responsabilité humaine ? Notre futur président se dirige-t-il vers une politique d'eugénisme ? Dans cette politique, qui aura le droit de vivre ? D'autre part, comment fera-t-on vivre les habitants, surtout s'il y en a beaucoup, sur une planète devenue invivable ? Bon, il nous dit ce qu'il fera, lui président.

Hubert Reeves s'exprime dans l'émission « Moi président » de France Info. Il décrit les premières mesures d'urgence qu'il prendrait pour limiter les dégâts s'il était président. Extrait du journal de la Haute Marne cité par le site officiel d’Hubert Reeves : Écologiste de la première heure, scientifique reconnu et respecté dans ses prises de position, Hubert Reeves est conscient que rien ne pourra se faire sans un changement radical et immédiat de nos comportements au risque de voir s'amenuiser les chances qu'il nous reste encore de limiter les dégâts, à défaut d'inverser la tendance. Citation d’Hubert Reves : « La biodiversité est un mot qui semble abstrait. Il est pourtant synonyme de millions d'espèces animales et végétales, connues ou encore inconnues, impossibles à quantifier de façon précise. Dans le passé, il y a eu des périodes d'extinction massive mais cette fois l'activité humaine en est la cause. Cette “sixième extinction” a commencé avant que le réchauffement climatique n'intervienne. La déforestation en milieu tropical, le pillage des poissons marins, les chasses intensives, ont une responsabilité évidente dans cette accélération du rythme des disparitions… ».

Hubert Reeves est un scientifique respecté. Mais à choisir, la solidité des données et des analyses sur lesquelles s'appuie Sarkozy il ne les a pas du tout citées mais il en a probablement, il n'oserait pas affirmer sans preuves. Si ? Ah bon.), l'expérience, la hauteur de vue, l'indépendance face aux milieux financiers et la vision de l'avenir de notre vénéré ancien président discréditent évidemment Hubert Reeves. Non ? Ah bon.

Incidemment, plus la campagne progresse, moins je trouve de raisons de voter pour Nicolas Sarkozy. Bon, d'accord, dès le début je n'en avais absolument aucune intention. Mais deux fois rien c'est déjà quelque chose.

Protéger ses libertés lorsqu'on utilise internet

L'association Cecil (Centre d'étude sur la citoyenneté, l'informatisation et les libertés) en association avec la Ligue des droits de l'homme publie

Des fiches pour protéger ses libertés.

Treize fiches parues en mars 2015.

Je sais, j'en ai parlé la dernière fois mais ne les ai pas encore consultées. Peut-être ne suis-je pas le seul ?

Bon, je les consulte.

Certaines de mes pratiques rejoignent déjà les recommandations des fiches : utiliser le navigateur Firefox, utiliser des logiciels libres (les suites bureautiques libres telles que Open Office ou Libre Office possèdent, je crois, toutes les fonctionnalités de Word, Excel Powerpoint etc. et sont tout aussi commodes d'emploi.), utiliser un moteur de recherche alternatif pour échapper à la pieuvre Google, (personnellement j'utilise Qwant et j'en suis très, très satisfait. Je pense que Qwant a beaucoup progressé depuis la rédaction de la fiche.) Pour le pistage, la fiche m'apprend la possibilité d'activer une fenêtre privée. (ctrl maj P, ou « fenêtre privée » dans les options.) J'avais déjà activé l'option « ne pas me pister » et sur la suggestion de la fiche je demande à la machine de ne pas conserver l'historique.

Bon, j'ai consulté et suivi les recommandations de quatre fiches sur douze.

Orthographe, encore

Extrait de la revue en ligne « Le café pédagogique » 19 septembre 2016.

Rectifier son orthographe d’enseignant

En 1990, le Conseil supérieur de la langue française proposait quelques corrections et régularisations de l’orthographe. Cette orthographe rectifiée est reconnue par l’Éducation nationale depuis 2007, devenue la référence au primaire depuis 2008, appliquée dans les manuels scolaires en 2016. L’orthographe rectifiée n’est pas obligatoire, mais il serait aberrant qu’il y ait des écarts entre ce que l’élève lit dans son manuel et ce qu’il lit au tableau, et il serait bienvenu qu’il apprenne cette orthographe rectifiée qui favorise l’apprentissage des régularités de la langue. Pour aider les enseignants eux-mêmes à assimiler les changements, on trouvera des ressources dans un dossier du site Lettres de l’académie de Montpellier ou dans la lettre de rentrée de l’AFEF.

http://disciplines.ac-montpellier.fr/lettres/du-cote-de-la-classe/maitrise-de-la-langue/s-approprier-l-orthographe-rectifiee

http://www.afef.org/blog/post-la-lettre-de-lyafef-ny-62-septembre-2r16-p1757-c14.html

https://www.orthographe-recommandee.info/

J'aurais préféré que le site « Le café pédagogique » titre « S'approprier l'orthographe recommandée 1990 » plutôt que « Rectifier son orthographe » qui, justement, fait un peu police de la langue.

J'utilise pour cette lettre [alerte] le logiciel correcteur d'orthographe Robert avec l'option « orthographe recommandée 1990 ». Franchement, pour ce qui concerne l'orthographe, (je ne parle pas du contenu !) êtes-vous choqués par la destruction de notre langue et de notre culture dans cette lettre ? Peut-être quelques accents circonflexes absents, qui peuvent vous laisser supposer des fautes de frappe ou un manque de soin. J'ai moi-même encore du mal à écrire aout au lieu de août. Et une vigilance impitoyable du logiciel s'exerce sur l'usage des espaces sécables ou insécables, que vous ne percevez pas à la lecture et qui je pense ne relève pas des modifications 1990. À la correction, cela prend pourtant un temps fou.

À propos de [alerte]

Diffusion libre à condition de citer la source, [alerte] JM Bérard, et impérativement la date.

Le nuage de [alerte]

J’ai placé dans le nuage de [alerte] des textes et documents divers, avec le seul critère qu’ils me semblent intéressants et méritent d’être portés à votre connaissance. Cliquez, naviguez. Pour accéder au nuage cliquer sur :

https ://drive.google.com/folderviewrr?id=0B_Wky0_FwW1tekd3aXNsOEpwVk0&usp=sharing

Pour accéder aux fichiers, simple clic sur l’icône.

Fonctionnement de la lettre [alerte]

Inscription sur la liste de diff sur simple demande. On peut aussi se désinscrire. Les adresses des destinataires n’apparaissent pas lors de l’envoi.

Vous pouvez m’écrire à

jean-michel.berard (x) orange.fr

Ce qui est écrit dans cette lettre n’engage strictement que moi, sauf bien sûr s’il s’agit de la citation d’un appel ou d’un communiqué.

Les remarques et réactions que vous m’envoyez concernant ce que j’écris me sont précieuses, indispensables, car elles font rebondir la réflexion.

Lorsque je publie l’une de vos réactions, je ne mentionne pas votre nom. La liste de diffusion comporte près de 300 abonnés, qui plus est la lettre est disponible sur internet et je pense que vous ne tenez pas forcément à ce que votre qualité de lecteur de [alerte] soit diffusée ainsi à tous les vents. Je peux si vous les souhaitez diffuser votre prénom ou vos initiales, ou continuer à garder la mention « reçu de l'un de vous ».

Les messages que vous m’envoyez, s’ils concernent la lettre [alerte], peuvent être diffusés dans la lettre, un peu comme le courrier des lecteurs qui écrivent à un journal, mais sans que votre nom soit cité. Si en m’envoyant une réaction à propos de la lettre vous ne souhaitez pas du tout qu’elle soit publiée, merci de me le signaler.

Outre l’envoi par courrier électronique sur simple demande, les lettres [alerte] sont consultables sur

http ://alerte.entre-soi.info/

Fin

de la lettre du 2 octobre 2016