[alerte] - JM Bérard - 25 janvier 2020

Les lettres [alerte] sont disponibles sur

http://alerte.entre-soi.info

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Ce texte a été revu par le logiciel Antidote (orthographe, grammaire, langue). J’ai choisi l’option « orthographe rénovée 1990. » Ce logiciel m’a été recommandé par la linguiste Danièle Cogis.

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Brigitte Fontaine

Certes, Brigitte Fontaine est un peu étrange. Une séquence lui était consacrée ce matin 23 janvier 2020 sur France Info. J’aime beaucoup les deux chansons suivantes, l’une parce qu’elle est totalement absurde, l’autre parce que ce texte terrible est dit avec un détachement qui tranche, et cela avec toutes les apparences d’un cours de vulgarisation scientifique.

https://www.youtube.com/watch?v=cJxZVKKzJY0

https://www.youtube.com/watch?v=bJ_nT1fTTFQ

https://www.youtube.com/watch?v=L8ejnv15bPk

Soyez prudent en écoutant Le nougat, c’est très lancinant, cela trotte dans la tête toute la journée. Peut-être couper le son ? Ou mettre des boules Quies ?

Au fond, la chanson sur l’incendie n’est-elle pas un peu analogue à ce que nous lisons d’habitude sur le réchauffement climatique ? Pourquoi, lorsque Brigitte Fontaine la chante, pensons-nous que c’est de l’humour ?

Surpris par ces références ? Et pourtant vous connaissez mon gout pour le nonsense.

Je n’accepterais jamais d’appartenir à une association qui m’accepterait comme membre. Groucho Marx. Peut-être est-il sage ? Pour ma part, j’ai plutôt une pratique inverse, mais le fait est que cela ne rend pas heureux, car souhaiter appartenir à toutes les associations est d’une part absurde (elles ne sont pas toutes d’accord entre elles) et d’autre part nécessairement émiettant, ou même entièrement destructeur. Le film superbe de Woody Allen, Zelig, décrit superbement l’impasse à laquelle condamne le fait d’être d’accord avec tout le monde. Bon d’accord, vous avez repéré ma faute de logique formelle : la négation de « appartenir à toutes les associations » n’est pas « n’appartenir à aucune », mais c’est « il y a au moins une association à laquelle je n’appartiens pas. »

CGU de la lettre [alerte], mise à jour du 4 janvier 2019

Merci des critiques de ceux de vous qui seraient en désaccord avec tel ou tel point de ces CGU, je modifierai.

CGU signifie « Conditions générales d’utilisation. » Ce sont celles que vous n’avez pas l’habitude de lire lorsqu’on vous demande d’attester que vous les avez lues. Moi non plus d’ailleurs, mais j’ai tort, car les conséquences sont parfois désagréables. Les commerçants le savent bien. Ils savent que dans l’ensemble on va signer sans lire et qu’il faudra attendre les réactions d’internautes plus vigilants ou d’associations pour nous faire prendre conscience.

Ces CGU du 4 janvier 2019 sont valables à partir du 4 janvier 2019 et jusqu’à nouvelle mise à jour.

Directeur de publication JM Bérard, diffusion JM Bérard Chris Boissin.

Inscription sur la liste de diffusion sur simple demande. On peut aussi se désinscrire, sans même avoir à remplir un long questionnaire pour donner les raisons du départ. Les adresses des destinataires n’apparaissent pas lors de l’envoi.

Tous les textes écrits par JM B dans la lettre sont libres de diffusion, à condition de préciser la source (Lettre alerte JM Bérard) et la date. La lettre elle-même est libre de diffusion, les droits pour les textes cités sont réputés avoir été respectés par JM B.

En application du RGPD (règlement général sur la protection des données personnelles, règlement européen renforcé par la France) ne sont inscrits sur la liste de diffusion de la lettre que ceux qui ont exprimé par un acte explicite l’accord pour être inscrits. Ce règlement a une portée très générale. On ne devrait pas en principe recevoir de messages commerciaux ou de messages associatifs ou militants sans avoir donné un accord explicite. Les mentions du genre « si vous ne dites pas non, vous continuerez de recevoir nos envois » ne sont pas légales : il faut un accord explicite. Lorsque le RGPD est entré en vigueur, j’ai demandé à chacune des personnes qui reçoit la lettre par courrier électronique de me confirmer qu’elles souhaitaient la recevoir. J’ai été surpris et déçu, car guère plus de la moitié des personnes concernées ont donné leur accord. J’ai malgré cela décidé de continuer d’envoyer la lettre à tous, mais je n’aurais pas dû.

Le fait de recevoir la lettre ne signifie pas qu’on soit en accord avec son contenu. En dehors des gestionnaires JM Bérard et C. Boissin, nul ne connait les adresses des destinataires, qui ne sont communiquées ou vendues à quiconque.

Vous pouvez m’écrire à

jean-michel.berard xx orange.fr

Ce qui est écrit dans cette lettre n’engage strictement que moi, sauf bien sûr s’il s’agit d’une citation.

Les remarques et réactions que vous m’envoyez concernant ce que j’écris sont précieuses, indispensables, car elles contribuent à la réflexion de tous.

Lorsque je publie l’une de vos réactions, je ne mentionne pas votre nom. La liste de diffusion comporte près de 300 abonnés, qui plus est la lettre est disponible sur internet et je pense que vous ne tenez pas forcément à ce que votre qualité de lecteur de [alerte] soit diffusée ainsi à tous les vents. Je peux selon ce que vous souhaitez citer votre prénom ou vos initiales, ou continuer à garder la mention « reçu de l’un de vous ».

Les messages que vous m’envoyez, s’ils concernent la lettre [alerte], sont réputés pouvoir être diffusés dans la lettre, un peu comme le courrier des lecteurs qui écrivent à un journal, mais sans que votre nom soit cité. Si en m’envoyant une réaction à propos de la lettre vous ne souhaitez pas du tout qu’elle soit publiée, il faut me le signaler.

La lettre [alerte] est hébergée et diffusée par le serveur Ouvaton, dont la charte et les CGU garantissent la confidentialité de nos données.

Outre l’envoi par courrier électronique sur simple demande, les lettres [alerte] sont consultables sur

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