[alerte] - JM Bérard - 23 décembre 2018

 

Table des matières

La lumière revient, la vie va de l’avant

L’humanité contribue à détruire son propre cadre de vie

« L’affaire du siècle », sujet vital, même si le titre est mal choisi

CGU de la lettre [alerte] mise à jour du 19 aout 2018

Fin de la lettre du 23 décembre 2018

 

 

 

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Les lettres [alerte] sont disponibles sur

http ://alerte.entre-soi.info

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Ce texte a été revu par le logiciel Robert,

option orthographe révisée 1990.

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La lumière revient, la vie va de l’avant

Solstice d’hiver, la lumière revient, le printemps nous dit : j’existe, à bientôt. Les fêtes, Noël, la naissance, la vie. Le solstice d’hiver a pour tous une réalité physique, que n’ont pas les conventions arbitraires des dates et des années fixées par les sociétés au fil de l’histoire.

Je sais : en ce moment dans l’hémisphère sud c’est l’été. Et les personnages liés au solstice remontent à la plus haute antiquité. Simplement, au XIXe siècle, Coca Cola a fait une OPA sur les personnages existants (Santa Claus, etc.) en créant le père Noël rouge et blanc. Si, si !

Comme toujours j’aurais eu dans cette lettre beaucoup de sujets de révolte, beaucoup de sujets d’empathie pour chacun de vous. Je pense à vous. Je pense très fort « bon Noël », « bonnes fêtes », mais je pense aussi que c’est difficile à dire sans savoir exactement à quelle personne on s’adresse. Peut-être certains, certaines de vous ne sont-ils pas du tout en possibilité d’accueillir ce vœu. Bonnes fêtes.

L’humanité contribue à détruire son propre cadre de vie

Ce numéro daté du 23 décembre 2018 ne porte que sur un seul sujet : la destruction, en immense partie par l’humanité elle-même, des conditions de vie de l’humanité.

« L’affaire du siècle », sujet vital, même si le titre est mal choisi

Dans ce numéro je vous propose donc uniquement de prendre connaissance du texte « L’affaire du siècle » et de le signer si vous le souhaitez.

Je trouve que le titre de ce texte important est mal choisi : on croirait la description d’une enquête policière sur un fait divers exceptionnel, sublime, forcément sublime (dixit Marguerite Duras !), du genre « L’affaire du petit Grégory ». Dans « affaire du siècle » le mot affaire est pris ici au plein sens juridique : selon ce texte, les personnes à qui les élections ont confié le pouvoir politique ont, à l’égard des processus par lesquels l’humanité contribue à détruire son propre cadre de vie, une passivité coupable. Le texte que l’on vous propose de signer vise donc à porter plainte, oui, porter plainte contre le pouvoir exécutif pour absence d’action efficace. En très peu de jours le texte a reçu de très nombreuses signatures, dont la mienne. La comparaison qui me vient à l’esprit est que Laurent Fabius a eu à répondre devant la justice de ses décisions insuffisantes concernant la contamination par le Sida du sang destiné aux transfusions.

Quatre associations, Notre Affaire à Tous, la Fondation pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France et Oxfam France ont décidé, au nom de l’intérêt général, d’attaquer l’État français en justice pour qu’il respecte ses engagements climatiques et protège nos vies, nos territoires et nos droits. C’est l’Affaire du Siècle.

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https://laffairedusiecle.net/

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CGU de la lettre [alerte] mise à jour du 19 aout 2018

Merci des critiques de ceux de vous qui seraient en désaccord avec tel ou tel point de ces CGU, je modifierai.

CGU signifie « Conditions générales d’utilisation. » Ce sont celles que vous n’avez pas l’habitude de lire lorsqu’on vous demande d’attester que vous les avez lues. Moi non plus d’ailleurs, mais j’ai tort, car les conséquences sont parfois désagréables. Les commerçants le savent bien. Ils savent que dans l’ensemble on va signer sans lire, et qu’il faudra attendre les réactions d’internautes plus vigilants ou d’associations pour nous faire prendre conscience.

Ces CGU du 19 aout 2018 sont valables à partir du 19 aout 2018 et jusqu’à nouvelle mise à jour.

Directeur de publication JM Bérard, diffusion JM Bérard Chris Boissin.

Inscription sur la liste de diffusion sur simple demande. On peut aussi se désinscrire, sans même avoir à remplir un long questionnaire pour donner les raisons du départ. Les adresses des destinataires n’apparaissent pas lors de l’envoi.

Tous les textes écrits par JM B dans la lettre sont libres de diffusion, à condition de préciser la source (Lettre alerte JM Bérard) et la date. La lettre elle-même est libre de diffusion, les droits pour les textes cités sont réputés avoir été respectés par JM B.

En application du RGPD ne sont (en principe !!! ) inscrits sur la liste de diffusion de la lettre que ceux qui ont exprimé par un acte explicite l’accord pour être inscrit.

Le fait de recevoir la lettre ne signifie pas qu’on soit en accord avec son contenu. En dehors des gestionnaires JM Bérard et C. Boissin nul ne connait les adresses des destinataires, qui ne sont communiquées ou vendues à quiconque.

Vous pouvez m’écrire à

jean-michel.berard orange.fr

Ce qui est écrit dans cette lettre n’engage strictement que moi, sauf bien sûr s’il s’agit d’une citation.

Les remarques et réactions que vous m’envoyez concernant ce que j’écris sont précieuses, indispensables, car elles contribuent à la réflexion de tous.

Lorsque je publie l’une de vos réactions, je ne mentionne pas votre nom. La liste de diffusion comporte près de 300 abonnés, qui plus est la lettre est disponible sur internet et je pense que vous ne tenez pas forcément à ce que votre qualité de lecteur de [alerte] soit diffusée ainsi à tous les vents. Je peux selon ce que vous souhaitez citer votre prénom ou vos initiales, ou continuer à garder la mention « reçu de l’un de vous ».

Les messages que vous m’envoyez, s’ils concernent la lettre [alerte], sont réputés pouvoir être diffusés dans la lettre, un peu comme le courrier des lecteurs qui écrivent à un journal, mais sans que votre nom soit cité. Si en m’envoyant une réaction à propos de la lettre vous ne souhaitez pas du tout qu’elle soit publiée, il faut me le signaler.

La lettre [alerte] est hébergée et diffusée par le serveur Ouvaton, dont la charte et les CGU garantissent la confidentialité de nos données.

Outre l’envoi par courrier électronique sur simple demande, les lettres [alerte] sont consultables sur

http ://alerte.entre-soi.info

Fin de la lettre du 23 décembre 2018