[alerte] - JM Bérard " 1er septembre 2018

Table des matières

Rentrée des classes : ne me demandez pas cela

Cannabis et alcool

Donald Trump, Google et les moteurs de recherche

Démission de Nicolas Hulot

Profits des actionnaires en France

Au moins un pour qui ça va

Une analyse de Laurent Joffrin

Fin de la ligne de téléphone fixe

CGU de la lettre alerte, mise à jour du 19 aout 2018

Fin de la lettre du 1 septembre 2018

 


 

 

 

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Rentrée des classes : ne me demandez pas cela

C’est la rentrée, et ce titre était pour vous dire « Ne me demandez pas de parler du ministre Blanquer ». Ce n’est pas bien de mêler le subjectif et l’objectif, mais hélas ce qu’il dit et fait me donne des réactions proches de la nausée. Allez, j’en parlerai une autre fois. Heureusement, dans cette lettre, je n’ai pas de responsabilités institutionnelles.

Cannabis et alcool

Pourquoi commencer par cela, alors que ce n’est pas du tout, pas du tout l’une de mes préoccupations prioritaires ? Parce qu’il y a dans le journal « Le Monde » du 29 aout deux articles dont la juxtaposition est étonnante.

Dans des familles, en France, des enfants qui commencent tout juste à marcher sont intoxiqués gravement par le cannabis. Le nombre de ces accidents neurologiquement très graves est croissant. Je trouve cela choquant. Je suppose que les parents de très jeunes enfants protègent les placards qui contiennent de l’eau de Javel, des couteaux très pointus, que sais-je encore. Je suppose que s’ils laissent trainer du cannabis c’est qu’ils pensent que ce n’est pas très important. Stupéfiant, si j’ose dire. Laissent-ils trainer du paracétamol ou de la moutarde très forte ? Bon, d’accord (!) ouvrir une bouteille d’eau de Javel, un pot de moutarde ou sortir une gélule de paracétamol est plus compliqué que d’avaler un truc qui traine. C’est justement pourquoi, si l’on en consomme, il ne faut pas le laisser trainer !! Si vous avez l’occasion de le dire à des personnes que vous pensez être concernées… Cela dit, on se préoccupe, à juste titre, du cannabis, mais il y a aussi des enfants intoxiqués par de l’alcool qui traine à la fin d’une fête de famille. Attention : au-delà de cette remarque sur l’alcool, il y a vraiment, en France, de plus en plus d’enfants de 2 ans intoxiqués par du cannabis et il faut vraiment faire attention.

Par ailleurs dans le même numéro du journal on apprend que « Pernod Ricard surveille de près le marché du cannabis récréatif ». (Remarque : le correcteur Robert me suggère d’écrire « Porno Richard ». Si si. Je pensais tout de même que le Robert évitait de tels jugements.) C’est normal : Pernod Ricard a les yeux fixés sur les ventes des poisons les plus consommés par sa clientèle, les apéros, mais il doit faire attention de ne pas se laisser surprendre par un produit nouveau concurrent. Il est toujours étonnant dans les bilans des entreprises de voir Pernod et Ricard se réjouir de la progression des ventes de leurs produits mortels, progression de 6 % en un an. (« Une très bonne année », selon M. Ricard.) On apprend de plus dans l’article que, dans le monde, plusieurs sociétés du genre Pernod Ricard investissent de façon discrète dans le cannabis. Il faut, en affaires, avoir le regard fixé sur l’avenir.

J’ai souvent donné mon avis au sujet du cannabis. Je l’ai déjà dit, je n’ai jamais consommé de cannabis, non pas du tout par conviction mais parce que je n’en ai pas eu l’occasion. Je n’en tire pas gloire. Je pense que les médicaments tout à fait légaux que j’achetais en pharmacie sur ordonnance médicale un peu irresponsable (d’accord, les médecins étaient un peu irresponsables mais moi aussi) étaient sans doute aussi ou plus dangereux que le cannabis.

D’abord j’ai la certitude absolue que, pour la santé de chacun, pour l’équilibre des familles, pour la prévention de la violence familiale et sociale, l’alcool est infiniment plus dangereux que le cannabis.

Je ne suis pas le seul à le penser ; des sociologues et des hommes politiques plus compétents que moi pensent qu’une mise en vente du cannabis récréatif contrôlée par l’état (comme l’alcool et le tabac) aurait de nombreux avantages. Cela couperait en particulier, si j’ose dire, l’herbe sous le pied de tous les gangs qui se partagent le marché, dans une violence souvent très meurtrière. Cela libèrerait aussi la police, qui pourrait s’occuper de problèmes plus graves.

Pour l’alcool, je regrette beaucoup que le très puissant lobby des producteurs d’alcool, abrité derrière la bannière de la « traditionnelle » production « patrimoniale et culturelle » du « bon » vin français réussisse à grignoter constamment la loi Evin, maintenant presque vidée de sa substance. Vin français de qualité ou pas, un degré d’alcool est un degré d’alcool. On a eu je crois beaucoup de mal à imposer sur les bouteilles de vin le fait que les femmes enceintes ne doivent pas en boire. Je viens de vérifier sur une bouteille de vin bio « grand vin de Bordeaux, Bordeaux supérieur 12 % vol. » dans ma cuisine : il n’y a aucune icône concernant les femmes enceintes. (Attention je ne dis rien de la qualité œnologique de ce vin. J’ai juste recopié l’étiquette et constaté que rien ne concerne les femmes enceintes.) C’est normal : ce qui est dangereux pour les femmes enceintes est le bourbon médiocre des séries policières américaines, pas le bon vin français, surtout bio !!

Allons, ne soyez pas ridicule, JM B, il faudrait savoir, vous êtes écolo ou pas ? Même à 12 % vol. un vin bio n’est peut-être pas dangereux pour les femmes enceintes ? Bon d’accord, c’est pour rire, 1° d’alcool est un degré d’alcool, même français et même bio, et donc du vin bio de 12° est un vin à 12°. Les femmes enceintes ne doivent pas en boire.

Extrait du site de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, recopié le 29 8 2018 : Les boissons alcoolisées (plus de 1,2 % vol.) commercialisées ou distribuées à titre gratuit sur le territoire français doivent porter sur leur conditionnement un message sanitaire destiné aux femmes enceintes préconisant la non-consommation d’alcool. Il peut s’agir d’un pictogramme représentant une femme enceinte dans un cercle barré ou d’un message rédigé ainsi « la consommation de boissons alcoolisées pendant la grossesse, même en faible quantité, peut avoir des conséquences graves sur la santé de l’enfant. Ce message sanitaire doit être situé à proximité du titre alcoométrique volumique acquis. »

Ce texte est copié d’un écran de juin 2018, mais hélas rien ne dit depuis quand il est valable. Dans des sites officiels je trouve cela tout à fait choquant. C’est pourquoi, dans les conditions d’utilisation de la lettre alerte je dis que vous avez le droit de la citer librement, à condition de citer mon nom et surtout de mettre la date.

Ce qui est certain est que, au moment où vous recevez cette lettre, ce texte est valide. Cherchez le logo « femmes enceintes » sur les étiquettes des bouteilles dans les magasins. Bon, allez, c’est normal, il faut bien que les producteurs de vin vivent. Eux, ils sont au courant : leurs femmes enceintes ne boivent pas de vin.

Attention, si votre santé fait que vous ne supportez absolument pas l’alcool : d’après ce texte une bière à moins de 1,2° est une bière qui n’est pas alcoolisée et est donc vendue comme « bière sans alcool ». Cela dit on peut penser que les personnes qui ne supportent absolument pas l’alcool ont pris l’habitude de lire les étiquettes.

Donald Trump, Google et les moteurs de recherche

Comme tout un chacun le fait de temps en temps, le président des États Unis d’Amérique a tapé son nom sur Google pour connaitre son image. Le faites-vous de temps en temps ?

Il a été très choqué : n’apparaissent dans le début de la liste de Google que des sites qui présentent Trump sous un jour qu’il juge, lui, très hostile. Il y a dans le début de cette liste de grands journaux nationaux des USA. Trump les juge très hostiles. Et du coup c’est la faute à Google qui a, selon Trump, orienter les résultats.

Bon, je ne suis pas naïf. Lorsque vous posez une question et que Google vous donne une liste de résultats, vous n’avez aucun moyen de savoir (secret industriel !) comment et dans quel ordre cette liste a été établie. Google n’est pas lui-même très regardant, puisqu’il était prêt à construire pour la Chine un moteur de recherche satisfaisant à tous les critères de censure en Chine. Les employés de Google n’ont pas voulu, jugeant que cela nuirait à l’image de leur entreprise.

Donc, est-ce que les résultats de Google concernant Trump sont orientés ? Cela n’est pas impossible mais franchement Trump n’est pas très convaincant : si de très grands journaux nationaux américains présentent Trump sous un jour que lui, Trump, juge défavorable, ce n’est pas la faute de Google. Il faudrait savoir (on ne le sait que trop !) ce que Trump estime défavorable. En fait, Trump est le président des États Unis d’Amérique. Je ne vois pas quel serait l’intérêt de Google de montrer de l’hostilité à Trump. Trump semble vouloir punir ou règlementer Google. Là, je suis très dubitatif. Certes Trump est président des États Unis d’Amérique, mais face à Google Trump n’est qu’un tout petit nain… J’attends avec curiosité la suite du match, entre les pouvoirs du président et l’immense toute puissance de Google. Je n’utilise pas Google, qui est pour moi un symbole d’atteinte aux libertés, mais je trouverais déplorable que Trump lui impose en plus ses propres limites.

Soyez vigilants, regardez de temps en temps comment vous apparaissez sur les moteurs de recherche même si vous pensez que la « modestie » de votre personne ne justifie pas que vous passiez du temps à cela. Regardez, vous pourriez être surpris par toutes les données, exactes ou non, respectant les règlements sur les données personnelles ou non que les sites Internet détiennent sur vous.

Bon, je me répète, je n’utilise pas Google, j’utilise le moteur de recherche Qwant. Lorsque j’en parle avec vous, la seule raison qu’ont certains de ne pas utiliser Qwant est « J’ai l’habitude de Google. ». Pour toutes les raisons philosophico sociologico politiques que je vous ai dites, je n’utilise pas Google. Je vous l’assure, Qwant est absolument aussi facile à utiliser.

Démission de Nicolas Hulot

Je ne vois rien à ajouter à ce que vous avez déjà lu ou entendu. Tout en roulant des mécaniques sur les accords de Paris et en prétendant donner des leçons à Donald Trump, le gouvernement Macron n’est absolument pas concerné par l’avenir de la planète, l’avenir de notre cadre de vie, des espèces qui l’habitent (y compris les Hommes), la dégradation des sol du fait du bétonnage ou de l’usage d’insecticides toxiques, par le laxisme concernant les permis de construire dans les zones dangereuses, l’émission de gaz à effet de serre ou de particules nocives, par l’absence de réelles mesures concernant les émissions thermiques des immeubles, l’absence de réflexion et de prudence sur l’avenir du nucléaire, par l’insuffisant développement des sources d’énergie alternatives, j’arrête la liste, elle est immense, j’en ai surement oublié. Je sais, cela vous agace, ce que je dis est simpliste, mais dites-moi en quoi je me trompe : tant que l’objectif de l’économie est que les actionnaires aient un profit le plus élevé possible (et en ce moment ce profit atteint en France des sommets inégalés) comment pouvez-vous penser changer quoi que ce soit ? Pourquoi changer vers des solutions qui, peut-être, rapporteront moins dans l’immédiat ?

Profits des actionnaires en France

Un rapport de Oxfam montre que la moyenne des dividendes versés par les entreprises du CAC40 aux actionnaires est de 67,4 % du profit (et pas 67,40 euros comme écrit par erreur dans le texte), très en tête de tous les pays d’Europe, bien supérieure aux 48 % des USA. Anecdote amusante : même une entreprise qui fait de fortes pertes comme Arcelor verse de gros dividendes. En moyenne en France seuls 27 % des profits sont réinvestis dans l’entreprise, seuls 5 % sont versés aux salariés. Même aux USA la part versée aux actionnaires n’est « que » de 48 %. Nicolas Sarkozy pensait qu’un tiers des profits devait être versé aux actionnaires, un tiers réinvesti et un tiers bénéficier aux salariés. On l’a échappé belle : ce marxiste pur et dur a dû quitter le pouvoir !

https://www.lci.fr/economie/profit-des-actionnaires-quels-enseignements-peut-on-tirer-du-rapport-d-oxfam-2087449.html

Pourquoi l’argent ne s’investit-il pas dans les énergies renouvelables ? Question bête pour un actionnaire ! En ce moment cela me rapporte gros, pourquoi changerais-je ?

Au moins un pour qui ça va

Je ne vais pas faire la liste de tous les ministres qui, pour des raisons diverses, sont engagés dans des problèmes avec la justice : travaux illégaux, prise illégale d’intérêts, responsabilités illégales dans des affaires dans lesquelles on a des intérêts personnels… Si si, cela fait aussi partie de La République « en marche ». Darmanin, au moins, dans l’une des nombreuses affaires où il est impliqué, vient d’être bénéficiaire d’un non-lieu. Il était accusé de viol. Je n’ai pas noté littéralement, mais je crois, en substance, que le tribunal estime qu’il n’y a pas eu viol : certes, sans aucun doute, la dame n’était pas d’accord, mais le monsieur n’avait aucun moyen de s’en rendre compte. Selon le juge l’absence de consentement ne suffit pas à constituer un viol ! Allez, vous savez qu’on n’a pas le droit de critiquer une décision de justice. Personnellement le viol ne m’attire pas du tout, mais si c’est votre cas, vous voyez, vous avez de la marge. Si la dame n’est pas d’accord mais que le monsieur ne s’en rend pas compte, ce n’est pas un viol. En fait c’est très simple. Il suffirait d’un petit badge porté par la dame, qui dirait « je suis d’accord pour être violée. » Plus de problème. Contradiction logique : comment peut-on être d’accord sur quelque chose que, par définition, on ne veut pas ? Allez, tous les hommes savent bien que, sur ce point, les femmes ne sont pas claires et qu’au fond… (Je suis tout à fait désolé de vous le redire, cette lettre est humoristique. Mais je me demande si en le disant cela n’enlève pas l’humour.)

Pourquoi parle-t-on tant de viol ? Bien sûr, heureusement, parce que la parole se libère. Et aussi je pense parce que c’est en étroite liaison avec les questions relatives au pouvoir en général. Par exemple avec le mode d’exercice du pouvoir par Macron ?

Une analyse de Laurent Joffrin

Sur les conseils de l’un de vous je me suis abonné à la lettre quotidienne de Laurent Joffrin. J’aime beaucoup ses analyses qui d’une part m’apprennent beaucoup et d’autre part avec lesquelles en général je suis tout à fait d’accord. C’est gratuit, je pense que ce serait intéressant pour vous de vous abonner.

Lettre du 30 aout, à propos du président qui pense que les Gaulois sont réfractaires au changement. Avant même de lire Joffrin, vous l’avez constaté : c’est quoi le changement ? En soi, cela ne veut rien dire, cela dépend de ce qu’on change et dans quel sens. Si le changement consiste à rétablir la peine de mort ou à affaiblir les normes d’accès aux handicapés, oui je suis réfractaire.

En fait, quand on soupire après le conservatisme supposé des Français, c’est dans un sens très particulier : on attaque leur réticence devant les réformes libérales que la classe dirigeante veut leur imposer, en général pour son plus grand profit. Or ces réformes sont en réalité des sacrifices : moins de protections, moins d’acquis sociaux, moins de salaire, moins de retraite, moins d’indemnités chômage. Ce sont ces réformes-là – ces reculs – que les « Gaulois » d’aujourd’hui n’aiment pas. Incroyable découverte : les Français veulent bien changer, mais pour le mieux. Autrement dit, ils ne sont pas masochistes. Pas besoin d’aller au Danemark pour s’en apercevoir.

Fin de la ligne de téléphone fixe

Une amie m’en a parlé, je ne l’ai pas crue. Pourquoi saurait-elle des choses que moi je ne sais pas ? Et bon, en cherchant sur mon moteur de recherche Qwant je constate que c’est un véritable projet d’Orange. Elle s’est intéressée à des trucs que je n’ai pas remarqués ! Quelle audace. (Bon, arrêtez de râler, je passe mon temps à vous dire que cette lettre est humoristique ! Humour lourd ? Ah bon.) De quoi s’agit-il ? Jusqu’à maintenant on pouvait s’abonner à une ligne téléphonique (France telécom, remplacé par Orange, et aussi SFR), on branchait son téléphone sur une prise murale et l’on pouvait passer et recevoir des communications. Ce sera progressivement impossible à partir de 2022. La seule façon de téléphoner sera de passer par le réseau internet, et donc de s’abonner à internet en ayant chez soi une « box » comme on dit. J’ai cherché sur un site de consommateurs, je n’ai pas trouvé de critique concernant ce changement. Simplement, je pense, cela incitera à utiliser internet puisqu’on l’aura. Est-ce négatif ? Personnellement, je ne pense pas. Je ne peux pas trouver négatif le fait de soutenir le développement des usages de l’internet. De toute façon, on pourra téléphoner, on ne sera pas du tout obligé d’apprendre à se servir d’internet. On pourra téléphoner. Avez-vous un avis ?

CGU de la lettre alerte, mise à jour du 19 aout 2018

Merci des critiques de ceux de vous qui seraient en désaccord avec tel ou tel point de ces CGU, je modifierai.

CGU signifie « Conditions générales d’utilisation. » Ce sont celles que vous n’avez pas l’habitude de lire lorsqu’on vous demande d’attester que vous les avez lues. Moi non plus d’ailleurs, mais j’ai tort, car les conséquences sont parfois désagréables. Les commerçants le savent bien. Ils savent que dans l’ensemble on va signer sans lire, et qu’il faudra attendre les réactions d’internautes plus vigilants ou d’associations pour nous faire prendre conscience.

Ces CGU du 19 aout 2018 sont valables à partir du 19 aout 2018 et jusqu’à nouvelle mise à jour.

Directeur de publication JM Bérard, diffusion JM Bérard Chris Boissin.

Inscription sur la liste de diffusion sur simple demande. On peut aussi se désinscrire, sans même avoir à remplir un long questionnaire pour donner les raisons du départ. Les adresses des destinataires n’apparaissent pas lors de l’envoi.

Tous les textes écrits par JM B dans la lettre sont libres de diffusion, à condition de préciser la source (Lettre alerte JM Bérard) et la date. La lettre elle-même est libre de diffusion, les droits pour les textes cités sont réputés avoir été respectés par JM B.

En application du RGPD ne sont (en principe !!! ) inscrits sur la liste de diffusion de la lettre que ceux qui ont exprimé par un acte explicite l’accord pour être inscrit.

Le fait de recevoir la lettre ne signifie pas qu’on soit en accord avec son contenu. En dehors des gestionnaires JM Bérard et C. Boissin nul ne connait les adresses des destinataires, qui ne sont communiquées ou vendues à quiconque.

Vous pouvez m’écrire à

jean-michel.berard@orange.fr

Ce qui est écrit dans cette lettre n’engage strictement que moi, sauf bien sûr s’il s’agit d’une citation.

Les remarques et réactions que vous m’envoyez concernant ce que j’écris sont précieuses, indispensables, car elles contribuent à la réflexion de tous.

Lorsque je publie l’une de vos réactions, je ne mentionne pas votre nom. La liste de diffusion comporte près de 300 abonnés, qui plus est la lettre est disponible sur internet et je pense que vous ne tenez pas forcément à ce que votre qualité de lecteur de [alerte] soit diffusée ainsi à tous les vents. Je peux selon ce que vous souhaitez citer votre prénom ou vos initiales, ou continuer à garder la mention « reçu de l’un de vous».

Les messages que vous m’envoyez, s’ils concernent la lettre [alerte], sont réputés pouvoir être diffusés dans la lettre, un peu comme le courrier des lecteurs qui écrivent à un journal, mais sans que votre nom soit cité. Si en m’envoyant une réaction à propos de la lettre vous ne souhaitez pas du tout qu’elle soit publiée,
il faut me le signaler.

La lettre [alerte] est hébergée et diffusée par le serveur Ouvaton, dont la charte et les CGU garantissent la confidentialité de nos données.

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Fin de la lettre du 1 septembre 2018