[alerte] - JM Bérard - 20 septembre 2018

Table des matières

Plaisirs partagés

Nouvel an juif

Le Parlement européen reconnaît aux artistes créateurs un droit au droit d’auteur

Le Parlement européen condamne la Hongrie

Marine Le Pen

Marine Le Pen telle qu’elle se présente

Restauration scolaire

Rachid Taha

Travaux pratiques de sexualité à l’école maternelle

Protection des données personnelles

CGU de la lettre [alerte] mise à jour du 19 aout 2018

Fin de la lettre du 20 septembre 2018

 

 

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Plaisirs partagés

* Le film « Mademoiselle de Joncquières » est inspiré d’un épisode de « Jacques le Fataliste » de Diderot, 1796. Les images du film sont superbes. Les actrices sont parfaites dans leurs rôles. Il faut le dire, car beaucoup avaient douté de la place de l’actrice Cécile de France dans la distribution de ce film. Diderot, dois-je le dire, est éblouissant par sa rigueur dans l’analyse de sentiments complexes, dans la recherche de la liberté et bien sûr par la beauté et la précision de la langue, très bien dite à l’écran. Comme on aimerait parler comme cela…

* Blanche Gardin, à voir d’urgence, « Je parle toute seule » https://www.mycanal.fr/d-8-divertissement/blanche-gardin-je-parle-toute-seule-disponible-a-la-demande/p/1506696

Pourquoi d’urgence ? Parce que c’est en replay et je ne sais pas pour combien de temps. Un humour qui secoue, dont on n’a pas l’habitude. Déroutant. Fascinant.

Nouvel an juif

Rosh Hachana, le début de l’année 5779 a été fêté les 10 et 11 septembre 2018. Bonne année. J’ai lu sur un site juif que l’on souhaitait pour 5779 la paix en Palestine. À mon grand désespoir, je ne vois pas comment on peut espérer cela, la politique de Benjamin Netanyhaou soutenu sans aucune condition par Donald Trump ferme hélas tout espoir à ce sujet : suppressions de droits de circuler, d’échanger des marchandises, suppression de subventions, contrôle de l’eau, annexion de territoires, suppression d’institutions palestiniennes, violences armées contre des manifestants… Je crois que personne, pas même lui, ne sait clairement où Netanyahou veut en venir avec les Palestiniens. Sauf à des « solutions » inacceptables, dans un pays qui se dit toujours la seule démocratie de la région, comme par exemple créer deux catégories d’habitants. C’est déjà fait depuis peu de temps ? Hélas. Des penseurs juifs estiment que cela n’est pas conforme à la religion. Mais quelle influence peuvent-ils avoir face à Netanyahou et Trump ?

Le Parlement européen reconnaît aux artistes créateurs un droit au droit d’auteur

Le texte a été adopté par le parlement le 12 septembre 2018. Enfin le droit d’auteur des artistes créateurs est reconnu sur l’internet. Jusqu’à présent ce n’était pas le cas : des diffuseurs mettaient gratuitement des œuvres à disposition des utilisateurs. Les diffuseurs se rémunéraient grâce à la pub. Les créateurs, eux, n’étaient pas rémunérés. Normal, c’est une vérité de base : sur internet, tout est gratuit. En fait ce qui rémunère les diffuseurs c’est la pub, ou la revente de vos propres données lorsque vous consultez les sites. Le parlement, après des hésitations, vient d’adopter le principe de la rémunération des créateurs. C’est loin d’être terminé : d’une part certains sites crient « jour noir pour l’internet », d’autre part il faut maintenant négocier pour la transposition dans les lois des États, et les lobbys partisans de la non-rémunération des auteurs ont encore de solides armes. Évidemment, leur argument est très simple : vous, auteurs, ne devriez pas vous plaindre, la gratuité fait connaitre vos œuvres et du coup attire des personnes dans vos concerts, vos performances, vos expositions. Sauf qu’on ne sait pas bien qui va payer pour aller au concert alors que tout cela sera gratuit sur internet. La logique du court terme est de plus en plus stupéfiante : gagnons de l’argent avec la pub sur la gratuité, ne payons pas les créateurs, lorsqu’il n’y aura plus de créateurs on verra bien ! Allez, vive le parlement de Bruxelles.

Le Parlement européen condamne la Hongrie

Deux articles à la suite dans cette lettre pour se réjouir des positions du parlement européen ! On voit bien, JM B, que, aux élections européennes, vous allez voter pour des partis résolument proeuropéens. Oui, mais lequel ? La vigueur avec laquelle je critique la politique du Président ferai bien sûr que je ne voterai pas pour La République en Marche, si européen se dise ce parti.

Franchement, je ne pensais pas qu’il y aurait une majorité dans ce parlement pour condamner Victor Orban.

Une remarque : comme vous le voyez, le Rassemblement National a raison, le Parlement européen empiète de façon intolérable sur la souveraineté des états. En droit, les traités internationaux s’imposent aux lois nationales. C’est bien normal : on négocie des principes, chacun fait des compromis, sans doute parce que chacun y a vu de l’intérêt, mais ensuite les compromis s’appliquent. Je suis bien content, par exemple, que la cour européenne de justice condamne régulièrement la France pour sa surpopulation carcérale indigne.

Les élus du parlement ont demandé, mercredi 12 septembre 2018, à une très large majorité, de lancer une procédure contre la Hongrie pour violation de l’État de droit. Les débats ont été très rudes, violents, le résultat très loin d’être acquis, qui plus est à une très large majorité. Je dois dire que je suis heureux mais surpris. Selon le site lemonde.fr cette procédure très complexe n’a jamais été appliquée, et pourrait éventuellement aboutir à priver la Hongrie de ses droits de vote dans l’Union ou à une quasi-exclusion.

Extrait du site lemonde.fr le 11 septembre 2018

En introduction à cette discussion, la députée écologiste néerlandaise Judith Sargentini, auteure du rapport sur l’État de droit en Hongrie, avait rappelé les valeurs égrenées à l’article 2 du traité de l’Union et déploré, entre autres, que la Hongrie bâillonne les médias, contrôle la justice, rende difficile la vie des ONG ou facilite l’enrichissement de ses dirigeants… Et que, même montré du doigt, le pouvoir de M. Orban n’avait « rien amélioré », depuis que plusieurs commissions du Parlement (liberté, contrôle budgétaire, culture et éducation, droit des femmes) ont voté en faveur de son texte.

Pour les personnes qui travaillent au journal Le Monde : j’ai vainement cherché comment vous demander l’autorisation nécessaire pour publier cet extrait. Pouvez-vous me renseigner ?

Marine Le Pen

Les sondages concernant les prochaines élections au Parlement européen mettent le parti de Marine Le Pen à égalité avec La République en Marche de Macron. Eh oui. Le fait est que j’avais voté Macron pour éviter Marine Le Pen ! Je ne sais que dire : les condamnations historiques solennelles rappelant le passé, la nature extrémiste du FN, tout cela est très juste et peut-être utile mais à mon avis sans effet. Les personnes qui votent Le Pen sont certaines qu’elle est la seule à pouvoir leur restituer leur dignité volée par les immigrants, l’Europe, la technocratie, que sais-je encore. La question n’est même pas « Y a-t-il trop d’immigrés » mais « Regardez tout ce qu’ils nous prennent ». Et là-dessus les arguments rationnels sont sans aucun effet.

Marine Le Pen telle qu’elle se présente

L’une de vous, CD, m’envoie un texte que je trouve très pertinent. Merci. Mais hélas, est-il efficace ? Sans doute est-il absolument utile de « déboulonner » l’image que certains veulent donner d’eux-mêmes, mais je crains bien que pour ceux qui pensent que Marine Le Pen défend leur dignité cela soit sans grand effet.

Je résume, en espérant ne pas trahir. L’essentiel de l’image qu’elle veut nous donner est « je suis une femme comme vous. » En fait je suis une héritière : héritière d’une longue ligne politique extrémiste, héritière sans doute d’une fortune dont on ne sait trop comment Jean-Marie Le Pen en a disposé. « Je travaille comme vous » : certes, elle est avocate, je ne sais pas si elle a exercé son métier. Mais je ne suis pas sûr que diriger un mouvement politique quel qu’il soit soit considéré par chacun de nous comme un travail semblable au nôtre, quel qu’il soit.

Enfin bon, MLP nous dit « je suis quelqu’un comme vous », il est bien clair que son mode de vie n’est pas celui « des gens » en général. Mais cela suffit-il à discréditer ce qu’elle dit aux yeux de ceux qui attendent beaucoup d’elle ? Je crains bien que non, même s’il est utile de tenter de dégonfler l’image qu’elle veut donne d’elle.

Restauration scolaire

Dans son plan de lutte contre la pauvreté le président annonce des repas dans les restaurants scolaires à partir de 1 euro pour les familles les plus pauvres. Bravo, il est vrai que le repas à l’école (pour les familles qui peuvent le payer) est un repas complet, équilibré et de plus en plus bio du fait de directives en vigueur. Mais bon, ce sont les communes qui assurent les frais des restaurants scolaires. Est-ce l’État qui va aider les communes à pratiquer des tarifs accessibles ? La méthode habituelle du président est plutôt : j’annonce, ce sont les autres qui paient. Aux Lilas où j’habite, le budget versé par la commune (donc par solidarité de tous les contribuables de la commune) fait que les familles les plus pauvres paient une somme très faible. Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris le site de la commune, pas très à jour : les parents les plus pauvres paient 30 centimes, pour un prix de revient tout compris pour la commune de plus de 7 euros. (Paiement du prestataire privé qui fait les repas, locaux, personnel, etc.) Certes, cela veut dire qu’en tant que contribuable je paie pour les repas des enfants des familles les plus pauvres. Oui, et j’en suis bien content : les impôts prélevés par la commune servent, dans ce cas précis, à exercer la solidarité de tous, dont moi, solidarité que certains hélas appellent avec mépris « assistanat ». Il me semble que dans le système de pensée de notre président la solidarité n’est pas une valeur éthique.

Rachid Taha

Merci à PC, lecteur vigilant (et rapide) qui me signale que je me suis trompé en décrivant la biographie de Rachid Taha. Un petit détail Jean-Michel, Rachid Taha est né près d’Oran et est arrivé en Alsace à l’âge de 10 ans, avant son adolescence en banlieue lyonnaise. Je suis stupéfait : j’écris un article sur Rachid Taha, j’accède à internet et à Qwant, comment me tromper à ce point ?

Allez, juste pour le plaisir de vous signaler à nouveau Ya Rahya, avec Catherine Ringer.

https://www.youtube.com/watch?v=DC53QLsv29c

Ce n’est pas mon habitude de demander cela, mais je dois dire que cela me ferait plaisir si juste un ou une de vous me dit « J’ai aimé cette chanson. » Je ne devrais pas demander cela : l’envoi de la lettre [alerte] est sans contrepartie. Il est donc tout à fait légitime d’ignorer complètement ma demande trop affective. Cela dit, attention, si personne n’aime, la prochaine fois je mettrai le lien pour « Tiens, voilà du boudin », bien que je n’aie absolument rien contre la Légion étrangère. Un ou une, ce n’est pas beaucoup. Cela dit, je serais aussi intéressé si vous dites pourquoi vous n’aimez pas cette musique. Inutile de dire que j’en parle trop souvent, ça je le sais déjà. Il y a une faute de logique ? Je demande un ou une et vous ne pouvez pas savoir si d’autres ont déjà répondu ? Ça va pas, ça. À force de vous conseiller d’être logiques, vous en arrivez à contester ce que je dis.

jean-michel.berard orange.fr

Pour ce qui concerne la Légion étrangère, vous savez sans doute que lors des défilés militaires ils marchent sur un rythme plus solennel que les autres troupes. Leur pas est plus lent. Du coup je crois que le 14 juillet ils défilent à la fin des troupes à pied, juste avant les blindés. Normal, ce sont des étrangers, on ne sait pas où les mettre.

Et puis bien sûr il faut l’écouter.

https://www.youtube.com/watch?v=QC6-AhOmnCk

Très franchement, vous ne trouvez pas que cela a de la gueule ? Non, cela vous révulse ? Bon, la différence entre la Légion étrangère et l’orchestre de la garde républicaine à Paris est que l’orchestre de la garde républicaine est d’une qualité musicale réputée. Et pourtant ce sont aussi des militaires !

Il y a un point commun entre l’armée et l’Église. Ils savent utiliser des rythmes qui résonnent en nous. Bon, d’accord, Jean-Sébastien Bach est plus connu que l’auteur de « Tiens, voilà du boudin. » Et puis la musique militaire est hélas faite pour aller au combat. Pour la musique religieuse, c’est plus compliqué. C’est une autre forme de combat.

Sur la page Youtube où j’ai trouvé le boudin il y a aussi cela, étrange voisinage, par quel mystère des algorithmes : le chœur des esclaves dans Nabucco de Verdi.

https://www.youtube.com/watch?v=u5V-xBVqjUc

C’est tout autre chose, un hymne à la liberté. La salle avait spontanément chanté cela, sous la direction du chef d’orchestre Muti, pour protester contre les coupes dans le budget de la culture lorsque Berlusconi était allé à l’opéra en 2011.

Travaux pratiques de sexualité à l’école maternelle

Je suis effaré. Le ministre en personne a été obligé de publier une circulaire pour dire publiquement que non, les programmes scolaires ne demandent pas aux instituteurs de faire pratiquer des travaux pratiques de sexualité à l’école maternelle. Pour démentir une rumeur aussi stupide, aussi mensongère. Je pensais de façon sans doute simpliste que cette rumeur était créée puis répandue par des « penseurs » islamistes intégristes. L’une de vous qui habite le 93 me dit que cette rumeur est tout aussi répandue sur les réseaux fréquentés par les « bons » français. Peut-être devrais-je me réjouir du fait que la bêtise obsessionnelle soit aussi bien partagée ?

Texte paru au Bulletin Officiel de l’Éducation nationale le 13 septembre 2018. Je le cite pour le cas où vous jugeriez utile de l’utiliser. En fait je doute : face aux personnes qui sont convaincues qu’il y a des TP de sexualité à la maternelle, je ne crois pas que le texte du ministre puisse apaiser quoi que ce soit de la rumeur.

L’éducation à la sexualité se fonde sur les valeurs humanistes de liberté, d’égalité et de tolérance, de respect de soi et d’autrui. Elle doit trouver sa place à l’école dans un esprit de laïcité, de neutralité et de discernement", explique le BO. "En effet, l’éducation nationale et l’ensemble de ses personnels agissent, en la matière, dans le plus grand respect des consciences et fait preuve d’une grande vigilance pour que les enseignements soient pleinement adaptés à l’âge des enfants. Cette éducation vise à la connaissance, au respect de soi, de son corps et au respect d’autrui, sans dimension sexuelle stricto sensu à l’école élémentaire. Elle est complétée, à l’adolescence, par une compréhension de la sexualité et des comportements sexuels dans le respect de l’autre et de son corps. L’enfance et l’intimité sont pleinement respectées" Le ministre a beau dire, on sait bien qu’à la maternelle on apprend aux enfants à se caresser.

Protection des données personnelles

C’est un sujet très important pour nos libertés. J’ai déjà longuement loué ici le Règlement européen pour la protection des données, RGPD. Si vous souhaitez travailler la question, je vous transmets le lien vers le référentiel qu’a élaboré la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés pour la formation des élèves à ce sujet. Cela peut vous intéresser tout autant que les enseignants. Bon attention c’est un gros travail. Je dois avouer que je l’ai parcouru intégralement avec intérêt mais que je ne l’ai pas travaillé en détail. Peut-être devrais-je le travailler sans sans vouloir tout faire en la fois, en ouvrant et travaillant un item de temps en temps.

Je pense aussi que ce référentiel peut-être utile à tel ou tel d’entre vous dans le travail qu’il fait. Il a le mérite d’être tout récent.

http://eduscol.education.fr/numerique/tout-le-numerique/veille-education-numerique/septembre-2018/le-referentiel-cnil-de-formation-des-eleves-a-la-protection-des-donnees-personnelles

http://eduscol.education.fr/cid129745/referentiel-cnil-formation-donnees-personnelles.html

CGU de la lettre [alerte] mise à jour du 19 aout 2018

Merci des critiques de ceux de vous qui seraient en désaccord avec tel ou tel point de ces CGU, je modifierai.

CGU signifie « Conditions générales d’utilisation. » Ce sont celles que vous n’avez pas l’habitude de lire lorsqu’on vous demande d’attester que vous les avez lues. Moi non plus d’ailleurs, mais j’ai tort, car les conséquences sont parfois désagréables. Les commerçants le savent bien. Ils savent que dans l’ensemble on va signer sans lire, et qu’il faudra attendre les réactions d’internautes plus vigilants ou d’associations pour nous faire prendre conscience.

Ces CGU du 19 aout 2018 sont valables à partir du 19 aout 2018 et jusqu’à nouvelle mise à jour.

Directeur de publication JM Bérard, diffusion JM Bérard Chris Boissin.

Inscription sur la liste de diffusion sur simple demande. On peut aussi se désinscrire, sans même avoir à remplir un long questionnaire pour donner les raisons du départ. Les adresses des destinataires n’apparaissent pas lors de l’envoi.

Tous les textes écrits par JM B dans la lettre sont libres de diffusion, à condition de préciser la source (Lettre alerte JM Bérard) et la date. La lettre elle-même est libre de diffusion, les droits pour les textes cités sont réputés avoir été respectés par JM B.

En application du RGPD ne sont (en principe !!! ) inscrits sur la liste de diffusion de la lettre que ceux qui ont exprimé par un acte explicite l’accord pour être inscrit.

Le fait de recevoir la lettre ne signifie pas qu’on soit en accord avec son contenu. En dehors des gestionnaires JM Bérard et C. Boissin nul ne connait les adresses des destinataires, qui ne sont communiquées ou vendues à quiconque.

Vous pouvez m’écrire à

jean-michel.berard orange.fr

Ce qui est écrit dans cette lettre n’engage strictement que moi, sauf bien sûr s’il s’agit d’une citation.

Les remarques et réactions que vous m’envoyez concernant ce que j’écris sont précieuses, indispensables, car elles contribuent à la réflexion de tous.

Lorsque je publie l’une de vos réactions, je ne mentionne pas votre nom. La liste de diffusion comporte près de 300 abonnés, qui plus est la lettre est disponible sur internet et je pense que vous ne tenez pas forcément à ce que votre qualité de lecteur de [alerte] soit diffusée ainsi à tous les vents. Je peux selon ce que vous souhaitez citer votre prénom ou vos initiales, ou continuer à garder la mention « reçu de l’un de vous ».

Les messages que vous m’envoyez, s’ils concernent la lettre [alerte], sont réputés pouvoir être diffusés dans la lettre, un peu comme le courrier des lecteurs qui écrivent à un journal, mais sans que votre nom soit cité. Si en m’envoyant une réaction à propos de la lettre vous ne souhaitez pas du tout qu’elle soit publiée,
il faut me le signaler.

La lettre [alerte] est hébergée et diffusée par le serveur Ouvaton, dont la charte et les CGU garantissent la confidentialité de nos données.

Outre l’envoi par courrier électronique sur simple demande, les lettres [alerte] sont consultables sur

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Fin de la lettre du 20 septembre 2018