Orthographe

Cette lettre [alerte] est écrite dans l’orthographe recommandée 1990 en suivant (sauf oubli !) les conseils de correction du dictionnaire électronique Robert.

http ://www.orthographe-recommandee.info/index.htm

Amour

La lettre [alerte] du 14 octobre 2016, que vous pouvez retrouver sur le site http ://alerte.entre-soi.info/ si vous ne l'avez plus dans vos archives, a inspiré deux de vous, C et J R qui envoient le texte suivant.

Outre que Barbara est l'artiste qui fait vibrer le mieux la corde de la mélancolie et de la tristesse (ses mots touchent comme des « couteaux savoyards » et que, quand nous voulons ressentir ces sentiments, nous adorons l'écouter), Barbara est surtout le symbole de l'amour qu'elle porte à son public et qu'il lui porte. Il y a peu d'artistes qui ont reçu tant de fidélité, surtout à notre époque.

Alors l'amour, puisque c'est le thème. Tout dans votre lettre en parle, : le métissage, la mort, donc la vie, donc la création, donc pourquoi pas Dieu et son œuvre ; qui se montre jusque dans la physique quantique et le Li-Fi !

Car tout n'est que cela, une matrice de forces qui vibrent et forment la création.

À nous de choisir quelle force nous voulons ressentir, faire vibrer en nous.

- Si c'est l'amour, cela peut donner un don magnifique entre humains, qu'est l'échange, la relation. Car qu'est-ce que le métissage, sinon la dernière grâce d'une belle possibilité de connexion. Car un métis n'est que le pont entre deux cultures, deux communautés. Un courant « électrique » qui allume les ténèbres et le mur de la haine. [...]

- Si nous choisissons une autre force par contre, comme la destruction, cela peut mener à ressentir la colère ; la frustration et la douleur qui mène à la haine. Car tous ces gens qui se dirigent vers ces extrêmes veulent trouver une place qui leur éviterait de souffrir, de ne plus ressentir leur sentiment d'injustice ou de soif de vengeance. Ils pensent que se tourner vers le combat leur permettra de ne plus sentir ces forces destructrices, ces sensations douloureuses. Mais ces chemins ne mènent qu'à la mort. Étape ultime de la force de destruction.

Pour pouvoir recommencer la Vie. Car c'est là le plus beau et le plus paradoxal : il faut la mort pour la vie et la vie pour la mort. La poussière est le terreau des plus belles plantes. ! Tout n'est que « cycles » et « saisons ». Peut-être faut-il pouvoir adopter le point de vue du métis qui se trouve entre deux mondes pour prendre du recul sur « toutes ces saisons » et y voir la belle création universelle, la belle « composition » réalisée de multiples couleurs.

Émotions, réflexion, sens. Il me semble aussi que je ne partage sans doute pas toutes vos conceptions du monde. Beaux et riches échanges en perspective.

Barbara

Ne peut être compris que si vous cliquez sur les liens.

https://www.youtube.com/watch?v=YdKH1TU2B7E

Avec un vers non repris d'habitude, au matin je me suis réveillée l'oiseau m'avait laissée avec mon chagrin.

https://www.youtube.com/watch?v=lsmZk3-M8Qc

https://fr.wikipedia.org/wiki/Barbara

http://www.disons.fr/?p=18976

Je ne sais pas comment on peut vivre, créer, être une telle artiste en ayant subi cela dans son enfance. L'énergie du désespoir ? Ou plutôt l'énergie de la vie ?

« De ces humiliations infligées à l’enfance, de ces hautes turbulences, de ces descentes au fond du fond, j’ai toujours resurgi. Sûr, il m’a fallu un sacré goût de vivre, une sacrée envie d’être heureuse, une sacrée volonté d’atteindre le plaisir dans les bras d’un homme, pour me sentir un jour purifiée de tout, longtemps après. »

Racisme, différences et diversité

Marine Le Pen contre le port de la kippa

Jusqu'à maintenant Marine Le Pen s'opposait au port en public du voile, du burkini et autres bricoles. Craignant sans doute (à tort !) qu'on l'accuse d'exaspérer la haine contre les seuls musulmans elle s'oppose désormais aussi au port de la kippa. Bon, cela ne trompera pas grand monde, l'extrême droite est historiquement anti-juive, même si en ce moment diverses lois contre le racisme, le révisionnisme l'empêchent de trop le dire. J'avais beaucoup admiré sur Radio Courtoisie, radio des droites extrêmes, le strict respect de la loi qui consistait à dire « Patrick Bruel est bien tel que nous savons qu'il est. » Inattaquable !

Qui plus est, voici à nouveau une radicale méconnaissance de ce qu'est en France la laïcité définie par la loi de 1905 : les autorités publiques n'ont pas à arborer de signes religieux. Je sens déjà venir les débats : non, les maires n'ont pas le droit d’installer une crèche de Noël dans les locaux de la mairie. (Je modère : le Conseil d’État doit rendre une décision à ce sujet : selon certains la crèche n'est pas un objet religieux mais culturel. Capillotracté. Les citoyens, eux, ont le droit d'arborer en public tous les signes religieux. C'est la loi. C'est pourquoi, par exemple, les débats sur le burkini, repris malheureusement par certains « responsables » de « gauche » n'ont strictement pas lieu d'être. Rien dans la loi n'interdit le port de telle ou telle tenue au prétexte qu'elle exprime une religion. Je crois même qu'il existe encore à Paris des prêtres en soutane. Pas beaucoup, mais j'en ai vu. Et même dans un petit village de Savoie. On rencontre encore moins de religieuses en cornette, et de toute façon la cornette et la robe longue ne sont pas du tout un symbole d'oppression de la femme. Quoi qu’il en soit ces religieuses ont tout à fait le droit de sortir comme cela dans la rue. Les fanatiques de la secte du Dieu Soleil Râ ont même le droit d'être sur une plage publique seins nus et en string. Tout comme ceux et celles qui portent dans la rue un voile (pas intégral), une kippa, une grande croix ou une grande robe orange.

Dernière minute : hier 21 octobre 2016 Nicolas Sarkozy, s'exprimant « sur les terres du Front National » (drôle d'expression journalistique) a annoncé que lui président il interdirait partout le burkini. Il faudra changer la loi, peut-être la constitution, je ne sais pas. Quoi qu’il en soit Sarkozy espère « siphonner » les voix du FN en reprenant mot pour mot ses thèses. Est-ce un homme politique compétent ? Tout le monde pense pourtant que les électeurs préfèreront toujours l'original.

Diversité culturelle et prénoms : l'enfant est une personne

Pendant longtemps les parents ne pouvaient donner à leur enfant, en France, que des prénoms « usuels », en gros ceux des saints du rituel catholique romain. Cela devenait intenable, compte tenu de la diversité culturelle croissante sur notre territoire. Mais comment établir une liste de prénoms autorisés, dans le contexte de l'infinie variété des cultures, des langues et des coutumes ? On a donc pris le parti de donner le droit aux parents de donner comme prénom tout ce qu'ils souhaitent. Au pire, l'officier d'état civil peut saisir le procureur s'il estime que le prénom nuit à l'intérêt de l'enfant. Le juge décide.

Bon, je me demande si certains parents n'abusent pas de leur droit : l'enfant n'est pas la propriété des parents, il me semble qu'ils n'ont pas le droit de lui faire subir leurs propres lubies. Même si c'est symbolique, ne pourrait-on faire signer à tous les parents une déclaration disant qu'ils ont conscience que le choix du prénom doit prendre en compte l'intérêt futur de l'enfant ? Simple déclaration, quel que soit le prénom.

J'ai trouvé un site, donnant des exemples probablement exacts, car il précise les dates des décisions de justice : ont été refusés par le juge des prénoms tels que Titeuf, Fraise (alors que Cerise est autorisé, mais c'est pour éviter « ramène ta fraise »), Nutella, Patriste et Joyeux, qui ont été remplacés par Robert et Roger.

Bon, ils ont été refusés.

En revanche Mégane, Daemon, et même Djihad (j'y crois pas) ont été acceptés. Mégane refusé cependant pour la famille Renaud.

Vraiment, quel est l'amour pour leur enfant des parents qui choisissent de tels prénoms ? Un enfant n'est pas un jouet dont les parents font ce qu'ils veulent.

Cela dit, que penser de M. et Mme Blanche qui appellent leur enfant Francis (je le connais réellement), sans doute par admiration pour le célèbre humoriste ? Et autres multiples fantaisies du même genre. J'ai trouvé sur un site des affirmations (non vérifiées) de gens qui disent connaitre vraiment Laurent Houtan, Maude Thête, Christophe Collomb, Denis Barre. Bon, ils le disent. Je n'ai pas trouvé ces noms dans l'annuaire de l’ile de France. Soit c'est une invention, soit les victimes se cachent en liste rouge !

Madame Duflot, ancienne ministre, vient d'être battue aux élections internes des verts. C'est la vie politique. Mais peut-on pardonner à elle et son mari d'avoir appelé leur fille Térébentine ? La presse s'étonne ironiquement : pourquoi pas White-Spirit ? Je suis certain que cela serait refusé car cela évoque trop la supériorité intellectuelle de la race blanche. Cette presse s'étonne à tort : il ne faut pas confondre Térebentine et térébenthine.

Tout ça pour en arriver au point de départ de mon questionnement : je connais une dame à qui les parents ont donné comme prénom le nom d'une cloche de vache utilisé dans leur région. Bon. Ce prénom sonne bien, si j'ose dire, et en dehors de leur région qui sait que cela désigne une cloche de vache ? Mais tout de même, dans la cour de l'école…

Cette histoire de prénoms a l'air sans grande portée, mais, de façon générale, l'enfant est-il la propriété de ses parents ? On pense bien sûr aux rôles respectifs des parents et de la société dans la définition des contenus d'instruction et d'éducation.

Bribes

Front national, encore

Écœurement. France-Inter consacre une émission d’une heure à la ville de Hayange dont une décision du maire vient de mettre à la porte le Secours populaire. Écœurant. Au final le but semble être de remplacer le Secours populaire, accusé d'être communiste, par une association « caritative » soutenue par le Front National. Parmi les reproches faits par le maire : la présidente du Secours pop (association qui aide les gens dans le besoin : nourriture, vêtements, cours de soutien, sorties) a protesté contre le fait qu’au gouter de Noël organisé par la mairie les enfants de réfugiés n'auront pas droit au gouter. Il est vrai que protester contre une décision aussi juste est vraiment une preuve de communisme totalement fanatique.

Que décident les logiciels ?

L'algorithme d'APB dévoilé

Le ministère de l’éducation nationale a pris la décision de rendre public le code du logiciel APB qui traite à Paris les affectations des élèves après le baccalauréat. Cela n'a l'air de rien, cela a été obtenu de haute lutte par les associations d'élèves et d'étudiants (Association Droits des lycéens), de parents d'élèves, d’enseignants,

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2016/10/19102016Article636124590520354367.aspx

Seront ainsi connus les critères, jusque-là secrets, selon lesquels les élèves sont affectés. Proximité de l'établissement ? Résultats scolaires ? Volonté louable de l'administration de rééquilibrer socialement les établissements, mais sans vouloir l'assumer ? Volonté des parents ? Le code étant maintenant public, les spécialistes en informatique vont pouvoir l'analyser et rendre les critères publics. L'administration aura ainsi à expliquer sa politique, que je pense tout à fait légitime mais tout à fait secrète.

C'est peut-être la question qui me semble, en 2016, la plus capitale : suivant quels critères tous les logiciels qui pilotent les décisions et pilotent les objets connectés sont-ils programmés ? Quels principes, et peut-être quels intérêts, régissent la programmation des logiciels concernant l'énergie, la santé ? Les « usagers » doivent les accepter sans pouvoir les analyser. Quelques exemples que j'ai souvent donnés : vu l'énorme importance sociale et commerciale du classement des résultats des moteurs de recherche, quels sont les critères qui font que tel ou tel site apparait en numéro un d'une recherche Google ? Secret commercial. Ou pour prendre un autre exemple, célèbre, selon quels critères les logiciels qui pilotent les moteurs des voitures diésel arrivent-ils à prouver au consommateur que l'usage de ce carburant leur est favorable ? Quel est l'effet sur la diversité sociale et culturelle de la plupart des logiciels qui vous proposent ce qu'ils « pensent » que vous aimez, en utilisant les données déjà collectées sur vous ? Va-t-on constamment me proposer des feuilletons américains parce que j'en regarde souvent à la télé, et jamais tel ou tel « grand » film, dont le logiciel estimera que cela ne m'intéresse pas ? Va-t-on constamment me proposer des caleçons longs en coton molletonné parce que je me suis intéressé aux usages vestimentaires du passé ? Et dire que l'on a présenté l'internet comme une possibilité d'ouverture. Je n'ai pas tout compris, mais j'ai entendu hier que certains réseaux sociaux vous proposent d'entrer en contact avec de personnes dont ils « savent » que vous partagez les goûts et les opinions. Pas du tout clivant. Vive l'entre-soi Que dire enfin des logiciels qui, selon des algorithmes opaques, traitent les données massives et proposent aux réflexions des scientifiques un ensemble d'analyses où le seul point qui rapproche les données est la corrélation. Pourquoi pas, cela ouvre des pistes de réflexion, à condition, de ne pas confondre, comme le craignent de plus en plus de chercheurs, concomitance et causalité et ne pas prendre, par souci d'efficacité, une coïncidence, même souvent observée, pour une relation de cause à effet. Mort de la logique et du rationnel.

La ministre Axelle Lemaire a fort judicieusement écrit dans la loi que les administrations doivent s'orienter vers un usage des logiciels « libres » dont le code est public. Il y faudra du temps, beaucoup d'administrations et d'hommes politiques vont considérer que la perte du secret est une atteinte à leur pouvoir de décider, dans l'intérêt public bien sûr ! Je pense que la publication du code de APB résulte de luttes citoyennes difficiles.

La ministre n'a rien pu écrire concernant les entreprises privées, qui sont privées et ont donc le droit de dire n'importe quoi, mais le problème est tout aussi grave.

Cop 21, cocorico

Les résultats de la conférence COP21 sur le réchauffement climatique ont été un immense succès pour le travail de la France, unanimement salué.

En cette fin d'octobre 2016 le gouvernement français vient de décider de renoncer à la taxe carbone, qui devait, conformément aux recommandations de la COP21, entrainer la fermeture de centrales électriques au charbon. Les syndicats du secteur ont fait remarquer que cela mettrait les ouvriers des centrales au chômage.

Dilemme habituel : mourir tout de suite du chômage, ou mourir très bientôt de la pollution.

Comme à son habitude, notre ministre de l'écologie et du compromis systématique avec les producteurs n'a pas pu ou pas voulu s'opposer à cette mesure. On dit qu'elle a pourtant la fibre écolo. Ah bon ? Ou alors elle n'a aucun poids au gouvernement ? Pas grave, certains socialistes pensent à elle pour être présidente de la république. Dans une telle élection l'écologie n'a évidemment aucun intérêt. Sauf pour dire, comme Nicolas Sarkozy, que l'écologie ça commence à bien faire.

La nausée : pourquoi tant de haine contre l'école de la république ?

Période électorale ? Effondrement des valeurs ? Les attaques contre l'école vont en ce moment bien au-delà d'un débat tout à fait légitime, mais prennent trop souvent la forme de hargne, de passion destructrice. C'est le cas des discours et même des programmes de beaucoup d'hommes politiques, mais aussi de livres, souvent publiés par des enseignants : rien ne va plus, le niveau baisse, les enseignants n'enseignent plus, tout cela par la faute du ministère qui veut détruire nos valeurs, par la faute de la méthode de lecture globale (jamais réellement appliquée, mais coupable de tout), des pédagogistes qui pensent que pour enseigner quelque chose il est bon de connaitre ce que l'on enseigne mais aussi de réfléchir aux meilleures méthodes pour que les élèves comprennent. Un livre particulièrement hargneux est paru récemment, qui suscite à juste titre réactions et même pétitions. Je crains bien que cela ne fasse pas changer d'un iota (oui, c'est du grec) les préjugés (juger à l'avance sans étudier la réalité) de ceux qui ne voient rien de bon dans l'école républicaine.

La lettre d'aujourd'hui est déjà bien longue, je reviendrai sur cette question capitale dans le prochain numéro.

Je me limiterai aujourd’hui à exprimer ma nausée devant les livres de Patrice Romain. Une partie du rayon « pédagogie », appelé comme cela par la Fnac, est consacrée à plusieurs livres de Patrice Romain. Instituteur pendant cinq ans il a ensuite été directeur déchargé de classe ? On ne le sait pas, mais donc chargé des relations avec les parents. puis principal de collège, donc sans élèves mais ça la quatrième de couverture ne le dit pas. Ses livres reproduisent les mots d'excuse que lui envoient les parents. En « respectant » l'orthographe approximative, sans doute pour les valoriser. On y constate le manque de connaissance de l'école et du système scolaire dont font preuve les parents, les difficultés qu'ils rencontrent dans la vie. Cela les rend donc tout à fait ridicules. Ce n'est bien sûr pas au directeur d'école de les informer.

Je ne peux pas reproduire de passages de ces livres. Je crois que mon ordinateur buguerait. Je vous donne seulement le lien vers une revue qui en parle. Et encore. La revue ne cite que des mots d'excuse pas trop ridicules et semble avoir corrigé l'orthographe.

http://www.lepoint.fr/culture/ecole-les-pires-mots-d-excuse-10-09-2014-1862003_3.php

Je me demande vraiment comment un enseignant peut enseigner en méprisant à ce point les parents de ses élèves, avec qui en principe il instruit et éduque les élèves. Ne se rend-il donc pas compte qu'il se dénigre lui-même ? Je me demande comment ces livres ont un tel succès. Ou du moins je sais ; c'est acheté et lu par des parents un peu plus cultivés que les auteurs des mots d'excuse. Ils peuvent donc à bon compte mépriser les parents des amis de leurs enfants. Je me demande comment M. Romain peut sans vergogne gagner de l'argent avec tout cela ? J'ai peut-être mal lu ? Peut-être donne-t-il ses droits à des associations de soutien à l'école. Que tente de faire M. Romain ? Nous dire que tous ces gens-là n'ont rien à faire ici ? C'est sans doute vrai dans l'école telle que la conçoit M. Romain.

Notez que j'ai la même nausée devant les nombreux professeurs qui vendent massivement chaque année les perles (authentiques ou inventées) du baccalauréat. Cela réjouit les parents qui achètent : les enfants des autres sont vraiment minables. Les enseignants n'ont pas l'air de se rendre compte que les perles qu'ils citent sont écrites par leurs élèves, ceux qu'ils ont formés. Bon, on voit bien là encore où ils veulent en venir : ces élèves n'ont pas leur place au lycée, c'était mieux quand seulement 10 % d'une classe d'âge passait le bac. Même au énième degré, cela ne me fait pas rire.

J’ai placé dans le nuage de [alerte] des textes et documents divers, avec le seul critère qu’ils me semblent intéressants et méritent d’être portés à votre connaissance. Cliquez, naviguez. Pour accéder au nuage cliquer sur :

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Outre l’envoi par courrier électronique sur simple demande, les lettres [alerte] sont consultables sur

http ://alerte.entre-soi.info/

Fin

de la lettre du 23 octobre 2016